# NC
L'Étudiant
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Le Figaro
# 47
Le Financial Times
300 enseignants
4 formations
100800 diplômés
1 campus
100 associations étudiantes
15000 étudiants
1- La proximité des professeur·es, pas de hiérarchie : les professeur·es ont en effet des relations très proches avec les étudiant·es. Par exemple, tout le monde passe assez rapidement au tutoiement. Également, les profs sont disponibles et la relation est linéaire, et pas hiérarchique. On ne s’adresse pas au prof
1- La proximité des professeur·es, pas de hiérarchie : les professeur·es ont en effet des relations très proches avec les étudiant·es. Par exemple, tout le monde passe assez rapidement au tutoiement. Également, les profs sont disponibles et la relation est linéaire, et pas hiérarchique. On ne s’adresse pas au prof agrégé etc., ici, ce ne sont que deux personnes qui communiquent.
2- La pédagogie inversée : ici, les cours magistraux, c’est fini ! On est plutôt sur de la pratique. Ce qui est entendu quand on parle de pédago inversée, c’est que les étudiant·es ont le cours à l’avance, doivent le travailler en amont. Ainsi, pendant le cours, le ou la prof attend que les étudiant·es soient actif·ves, avec prises de paroles, il peut y avoir des interros orales... En tout cas, il s’agit de s’exprimer, d’exercer son esprit critique et de pratiquer.
3- L’ouverture d’esprit : la proximité avec les profs, les valeurs d’inclusivité, de diversité… Attractif, non ?
4- Les cursus internationaux : HEC Montréal est la première école au Canada dans les programmes d’échanges. Un exemple ? Le cours expérientiel “Campus sans frontières”, qui permet de découvrir le tissu socio-économique d’une ville, d’une région ou d’un pays, avec des visites d’entreprises, des conférences ou des activités culturelles.
De plus, les stages à l’étranger sont crédités et rémunérés et tu as la possibilité d’obtenir un double-diplôme au sein d’un établissement partenaire.
5- La recherche en innovation et intelligence artificielle : Montréal est une ville où se trouvent beaucoup de centres de recherche dans l’IA, qui sont d’ailleurs très bien classés. Il y a donc de nombreuses formations, à destination des cadres dirigeant·es, mais également des étudiant·es.
Bertille Bouchard, élève de première année (après l’année préparatoire, tu comprendras en lisant ;) ), ainsi que Catherine Turban, Responsable Europe : Recrutement, Promotion et Partenariats, ont accepté de répondre à nos questions.
Créée en 1907 sur le modèle des grandes écoles européennes, HEC Montréal forme des **leaders responsables dans tous
Bertille Bouchard, élève de première année (après l’année préparatoire, tu comprendras en lisant ;) ), ainsi que Catherine Turban, Responsable Europe : Recrutement, Promotion et Partenariats, ont accepté de répondre à nos questions.
Créée en 1907 sur le modèle des grandes écoles européennes, HEC Montréal forme des leaders responsables dans tous les domaines de la gestion. L’excellence académique de HEC Montréal est reconnue à l’international. L’établissement a été le premier d’Amérique du Nord à obtenir les trois accréditations, ou “triple crown” in english, les plus prestigieuses dans son domaine : AACSB International, EQUIS et AMBA. Elle s’est donné pour mission de former des personnes en gestion afin qu’elles contribuent au développement durable de la société et au succès des organisations de manière responsable. Dans sa vision, elle se définit comme “carrefour du savoir” en gestion, qui inspire, innove et rayonne mondialement.
Nota Bene : le système éducatif au Canada n’est pas totalement le même qu’en France. Notamment, les appellations des cursus ne sont pas les mêmes. Pour éclaircir un peu les choses, il n’y a pas d’équivalence officielle, mais le baccalauréat dont on parle ici (le BAA, Baccalauréat en Administration des Affaires), de HEC Montréal, est pour nous (en France) un bachelor ou BBA qui te donne un niveau bac+3 (1er cycle). C’est un diplôme reconnu partout dans le monde, donc en France aussi. Ce qui fait que tu peux enchaîner avec un master dans un autre pays sans aucun problème.
Déjà, ne t’attends pas à des cours très approfondis. Durant cette “année 0”, tu vas apprendre ou revoir les bases, avec des cours tels que :
Durant cette année particulière, vous serez environ une quarantaine par classe (une vingtaine durant les cours de langue) et plus ou moins 300 étudiant·es en tout, venant de l’international. Le but ? S’adapter au système nord-américain mais aussi et surtout à la vie ici. Il y a notamment un comité d’intégration qui est là tout au long de l’année pour t’accompagner et favoriser les rencontres entre étudiant·es, avec des activités et événements. Tout le monde est très présent, parce qu’être loin de sa famille pour la première fois, c’est toujours dur.
Durant les cours, les enseignant·es reprennent les bases notion par notion, notamment en mathématiques. Dans cette matière, l’accompagnement est très personnalisé et tu as même une sorte de permanence, où tous les jours, un prof est dans une salle pendant 1h30 et les étudiant·es peuvent venir le voir pour une question, refaire un exercice mal compris, une notion à retravailler…
Cette année est pour les personnes n’étant pas passées par le système scolaire québécois, plus long que celui en France, par exemple. Les québécois·es, d’ailleurs, n’arrivent dans le bachelor/baccalauréat qu’en première année. Pour Bertille, “Cette année 0 est un privilège, puisque nous sommes d’abord au maximum 300. Cela me permet aussi de prendre mon temps, d’expérimenter plus de choses, d’avancer dans ma réflexion tranquillement, sans être pressée pour choisir une voie définitive.”
Ici, pas de prise de notes du cours pendant que le prof parle, en mode descendant. Que nenni ! Au contraire, quand tu arrives en cours, tu as déjà eu accès aux notions et tu les as déjà étudiées, annotées, etc. Tu peux alors être actif·ve, poser des questions, exercer ton esprit critique, faire des exercices, travaux de groupe, simulations… Si bien que quand tu sors de cours, tu as un peu de travail mais ce sera surtout des exercices. Avec cette pédagogie, tu progresses et apprends à travailler à l’avance et la pertinence de la critique constructive, qui peut mener au débat. C’est intéressant de pouvoir assimiler le cours d’abord chez toi et ensuite arriver en cours prêt·e à débattre et à réfléchir plus loin. Ça fait envie, non ?
Et durant la première année du cursus, les cours auront plus des titres tels que :
Durant cette année, tu auras l’occasion d’aller faire un tour à l’international, que ce soit pour un échange d’un trimestre, un projet crédité ou sous la forme d’un campus. Tu auras des cours tels que :
Les enseignements restent généraux jusqu’à cette deuxième année, où tu commences quand même un peu à te spécialiser, en choisissant parmi les multiples possibilités de spécialisations :
Cette liste est non-exhaustive : en tout, il y a 17 spécialisations. Tu choisis en fonction de ce qui t’a le plus plu durant les deux premières années. Et en troisième année, tu as un cours général, Management stratégique des organisations, tes spécialités et ton stage de fin d’études.
Déjà, sur place, tu as les cours de langues. Et oui, on n’y pense pas forcément, mais c’est la base pour bien se débrouiller ensuite sur le terrain : un apprentissage solide. Et on peut dire que c’est le cas dans le BAA de HEC Montréal : dès l’année préparatoire, tu as des cours de langues obligatoires. Tu peux ensuite, dès la première année, choisir ton cheminement : des cours seulement en français, ou en anglais et français, ou encore en anglais, français et espagnol. Bertille, pour sa part, a choisi le cheminement bilingue anglais-français. Ses cours d’anglais, où elle a notamment pu travailler les termes techniques du business english, lui servent beaucoup aujourd’hui pour ne pas se perdre en cours d’économie in english please, par exemple.
HEC Montréal est le plus important programme d’échanges internationaux en gestion au Canada, notamment grâce à ses 198 établissements partenaires, dans 56 pays. Sacrée liste d’endroits où tu peux te rendre ! ;)
Il y a plein d’autres excuses pour voyager sinon, t’inquiète : faire un double diplôme (possible en BAA), un stage, un projet ou trouver un emploi d’été…
À la fin de chaque cours (par semestre), on te demandera de remplir une évaluation de l’enseignement en général, à la fois du prof mais aussi du cours en lui-même. Par exemple, si tu trouves les notions vues en cours obsolètes, si tu n’as pas aimé…
La deuxième partie est consacrée à l’enseignant·e, ses méthodes, on te demande un feedback, quoi. C’est anonyme et il y a tout un système de confidentialité mis en place.
Le système de mentorat est dédié aux internationaux arrivant·es en année préparatoire. Le principe ? Un·e étudiant·e du BAA en 1ère, 2e ou 3e année parraine ou marraine un·e étudiant·e de l’année préparatoire. Il ou elle sera référent·e de l’étudiant·e arrivant·e durant toute l’année, qui peut parfois être un peu éprouvante.
L’école dispose d’un service de Gestion de Carrière. C’est l’équivalent d’un service de préparation aux stages en entreprises, avec du coaching, rédactions de CV, de lettres de motivation, des événements de rencontres entre étudiant·es et entreprises, tels que salons, jobdating…
Ce service propose également un suivi des diplômé·es. En effet, une fois à HEC Montréal, l’école t’offre cet accompagnement carrière durant toute la vie, en tant qu’alumnus de l’école. Il y a aussi un programme de mentorat : un alumnus senior peut accepter de coacher de jeunes étudiant·es.
Attention ! À propos des stages : au Québec, on part du principe que l’expérience professionnelle, tu l’acquiers si tu as bossé dans un milieu professionnel, peu importe le contrat signé. Cependant, tu peux bien évidemment chercher et trouver un stage, que ce soit en Europe, en restant au Québec ou ailleurs. Le service de Gestion de Carrière aide les entreprises à déposer leurs offres et les étudiant·es à trouver une expérience. Ainsi, pour les québécois·es, avoir un job à temps partiel est très courant et c’est plus intéressant que les stages...
Durant l’année préparatoire au BAA, tu n’as pas de stage. C’est seulement durant les première, deuxième et troisième années que tu peux en faire, notamment durant la troisième, puisque c’est un stage de fin d’études.
Pour te préparer au monde professionnel, il n’y a pas que les stages, expériences pro ou le service gestion de carrière. Il y a aussi les compétences douces, ou soft skills. Et c’est l’un des enseignements de l’année préparatoire ; ces compétences sont même évaluées. C’est la “note de professionnalisme” et on met dedans la ponctualité, le respect, la politesse, la communication, bref, toutes ces compétences qui ne comptent pas beaucoup d’habitude dans les notes. Elles sont évaluées soit par les pair·es durant les travaux de groupe (travail d’équipe, communication, gestion de conflit…) soit, plus classiquement, durant les cours par les profs (ponctualité, politesse…).
HEC Montréal met beaucoup l’accent sur les associations étudiantes. Dans le service aux étudiant·es, il y a même une branche directement liée à la vie associative. La vie associative est donc très active, tu as des associations pour tous les goûts : sports, marketing, cuisine, humanitaire… Ces associations te préparent bien au monde du travail, car elles fonctionnent beaucoup comme des mini-entreprises, avec un recrutement sur CV et lettre de motivation, par exemple. Quand tu arrives dans l’année préparatoire, tu ne peux pas candidater avant le second semestre.
Bertille indique qu’être dans une asso lui apporte beaucoup. Cela lui permet par exemple de s'exercer à gérer des projets : dans son asso actuelle, elle est vice-présidente projet, c’est-à-dire qu’elle s’occupe des événements de l’asso.
L’école se distingue non seulement par ses excellents classements mais également par sa démarche RSE.
En effet, d’abord au niveau du département transition durable, beaucoup de choses sont en train de se mettre en place sur le campus. Ce département a été créé pour plusieurs raisons :
Et l’engagement de cette école ne s’arrête pas là. Le pôle Equité, Diversité, Inclusion (EDI), mis en place assez récemment, lance des actions concrètes, telles que la semaine de l’accessibilité, ou encore le recensement des étudiant·es par rapport à leurs origines et leur statut (homme, femme, autre…). Une communication inclusive auprès de la population est aussi mise en place, en s’adressant plutôt à “la communauté” qu’aux “étudiants”. Il y a un bureau qui sert parfois de lieu où les personnes viennent parler de leurs problèmes, dénoncer des attitudes non inclusives…
Aujourd’hui, HEC Montréal compte environ 30% d’étudiant·es venant de l’international. Cette diversité des cultures est très importante pour le campus.
Cette école s’est d’ailleurs distinguée en obtenant la désignation Changemaker Campus de l’organisme Ashoka U, pour ses actions en innovation sociale et sa capacité à amorcer des changements.
Étant une école de commerce canadienne - donc une école étrangère -, HEC Montréal ne figure pas sur des classements des écoles dans des médias français, type Le Figaro ou l’Etudiant. Cela ne l’empêche cependant pas de se classer parmi les meilleures écoles de gestion du monde…
Voici les différents classements où se trouve HEC Montréal :
Aussi, Montreal est la meilleure ville universitaire au Canada : elle se classe en effet seconde des meilleures villes en Amérique du Nord pour les étudiants étrangers, selon le classement QS Best Student Cities de 2023.
Qui a fait HEC Montréal ?
Ce n’est pas moins de 100 800 personnes qui ont fait HEC Montréal dans le monde !
HEC Montréal peut être une école pour toi si…
Attention ! Le plus dur, c’est parfois le projet d’expatriation, qui peut être revu durant la première année, quand l’éloignement est trop difficile.
Alors, pour t’expliquer rapidement, HEC Montréal propose une formation post-bac, pour les Québécois·es comme pour les étudiant·es internationaux. Là où c'est différent, c’est que les étudiant·es internationaux passent par ce qui est appelé une “année préparatoire” avant l’entrée en première année du BAA. Pourquoi ? Pour effectuer une remise à niveau entre système français et système québécois. En effet, après le secondaire (qui englobe collège et lycée pour nous, va jusqu’à 17-18 ans), les québécois·es n’ont pas totalement fini : ils et elles reçoivent ensuite un “enseignement collégial”, qui dure entre deux et trois ans. D’après Bertille, ce serait un mix entre l’année de terminale et une classe préparatoire pour nous. Et ensuite seulement, les québécois·es en viennent à l’enseignement supérieur/universitaire.
Nota Bene : tu as jusqu’au 15 février pour envoyer ta candidature.
Cela va te prendre entre 30 et 45 minutes à remplir. Tu peux commencer la demande et la reprendre plus tard. Les frais de demande d’admission s’élèvent à 319,95$ canadiens pour un·e étudiant·e étranger·e, ce qui correspond à environ 220 euros. Et tu auras des frais supplémentaires de 216,67 $, c’est-à-dire de 150 euros parce que l’analyse de ton dossier sera plus complexe.
Une fois cela fait, tu recevras, dans les jours suivants, un message t’indiquant quand et comment transmettre les pièces justificatives de ton dossier de candidature.
Tu as cinq jours après la réception du message pour envoyer tes pièces au format PDF.
HEC Montréal t’envoie une réponse au maximum 4 semaines après la demande. Si tu as une proposition d’admission, tu devras y répondre sur ton compte HEC en ligne.
Donc, quand tu ne viens pas du système québécois, tu es admis·e dans cette année préparatoire sur dossier scolaire et tu devras fournir :
Il n’y a pas de niveau demandé en anglais (l’école s’occupe elle-même de ton niveau).
Nota Bene : si tu étais en classe préparatoire aux grandes écoles (CPGE) scientifique ou en licence, tu pourras potentiellement être admissible au Baccalauréat en Administration des Affaires (BAA) sans l’année préparatoire. N’hésite pas à nous poser tes questions !
Le recrutement ici est donc purement académique : il n’y a pas d’oraux type entretien de motivation ou autre, comme dans de nombreuses écoles françaises.
Pour une année à temps plein, les frais de scolarité sont de 10 800$ pour les Français et Belges francophones, c’est-à-dire environ 7 506 euros.
Si tu veux travailler après ton BAA, c’est possible. En effet, le taux d’emploi à 6 mois après la fin des études est à 96%. C’est très bon ! Et niveau salaire, on est bien aussi, avec un salaire annuel de base moyen de 55 459$, c’est-à-dire 38 552 euros brut annuels.
Bon, avant de prendre la grosse tête, rappelle-toi quand même qu’une école reste un moyen d’apprendre des choses qui pourront te servir. Si tu ne mets pas en application tes connaissances et savoir-faire tirés de l’école, rien n’arrivera. En bref : cette école est un tremplin pour rendre ta vie aussi belle et successful que tu as pu la rêver.
3 campus :
Le campus où Bertille étudie est super moderne, avec de nombreux endroits pour travailler, une bibliothèque très grande avec beaucoup de ressources. Il se passe souvent plein de choses sur ce campus, très vivant et très vert. De plus, comme HEC Montréal est une école affiliée à l’Université de Montréal, les étudiant·es ont accès à son centre sportif.
L’école est située dans la ville de Montréal, facilement accessible en transports en commun : un campus verdoyant avec une forêt et des infrastructures sportives variées près du Mont Royal.
De plus, Montréal est souvent désigné comme l’une des meilleures villes au monde pour étudier. En effet, c’est une ville universitaire dynamique et culturellement riche. La cité canadienne attire des talents du monde entier et offre un cadre de vie exceptionnel pour les étudiant·es. Surtout, Bertille indique se sentir en sécurité dans cette ville : “Je n’ai pas peur de rentrer chez moi à 1 heure du matin”, dit-elle.
HEC Montréal est une Grande École, dans tous les sens du terme, puisqu'elle compte plus de 15 000 étudiants, dont 30% d’étudiant·es internationaux.
Nous avons beaucoup apprécié l’idée de la pédagogie inversée, une belle manière de lier théorie et pratique. Et, loin de favoriser seulement l’excellence académique ou la performance, HEC Montréal n’oublie pas la dimension humaine. Cette école se trouve donc également parmi ces établissements qui accompagnent leurs étudiant·es vers la réussite et l’épanouissement grâce à des dispositifs parfois très personnalisés : une cellule psychologique, un accompagnement renforcé à destination des internationaux loin de leur famille, du soutien dans certaines matières, un service gestion de carrière, un accompagnement dans la vie associative, des associations hyper-actives…
Vraiment, HEC Montréal est une école qui donne envie !
Es-tu, pour autant, prêt·e à t’aventurer loin de chez toi ? C’est un défi auquel penser sérieusement : non seulement il y a la distance et en plus, il faut s’habituer à la vie à Montréal, la culture là-bas, la vie seul·e ou en coloc', apprendre à travailler à la québécoise, parfois devoir te trouver un travail à temps partiel… C’est dur, mais à Génération Zébrée, on pense que ça peut carrément valoir le coup, à condition de bien comprendre ce que cela implique. Es-tu donc capable de t’adapter ?
Chose qui peut paraître quelque peu étonnante de prime abord, tant l'école semble mettre l'accent sur l'humain, le recrutement à HEC Montréal se fait exclusivement sur critères académiques.
Devant le nombre de candidats toujours en augmentation, tes notes au lycée et ta mention bien (minimum) seront donc tes seuls atouts.
HEC Montréal assume donc de se priver de personnes pas forcément excellentes académiquement mais qui pourraient se révéler à HEC Montréal... mais d'un autre côté, elle efface toute possibilité de subjectivité dans l'analyse des dossiers.
Le sésame devient la note, les règles sont claires.
Ensuite, les internationaux ne sont pas mélangé·es avec les québécois·es lors de l’année préparatoire. En un sens, cela peut être bien au début pour se rassurer, et pour construire des liens plus solides avec la team "expat". Mais il va falloir redoubler d'effort pour sortir de cet "entre-soi" si tu veux profiter pleinement de ton expérience québécoise.
Enfin, tu dois garder en tête qu'au prix des études (déjà significatives) s’ajoutent tes frais de mobilité (oui, on ne va pas à Montréal en stop), ton logement, ton alimentation…
Tout ceci pris en compte, le prix pour aller étudier à HEC Montréal revient à plus ou moins l’équivalent du prix des études en écoles de commerce françaises.
En fonction de tes revenus (ou de ceux de tes parents), tu pourras également potentiellement obtenir des bourses d’étude, à voir avec ton gouvernement ou le gouvernement québécois.
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Sources :
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