2 formations
7500 diplômés
4 campus
Si tu es à la recherche de ton école de psychomotricité idéale, voici 5 raisons béton pour considérer l'ISRP (Institut Supérieur de Rééducation Psychomotrice) parmi tes favorites :
Si tu es à la recherche de ton école de psychomotricité idéale, voici 5 raisons béton pour considérer l'ISRP (Institut Supérieur de Rééducation Psychomotrice) parmi tes favorites :
👉🏼 L’ISRP est une école post-bac pour devenir psychomotricien·ne en 3 ans. En effet, le Diplôme d’Etat de Psychomotricien·ne est ton passeport pour exercer la profession. La formation proposée à l’ISRP est dense : entre les stages, les apprentissages théoriques et pratiques, l’alternance possible à partir
👉🏼 L’ISRP est une école post-bac pour devenir psychomotricien·ne en 3 ans.
En effet, le Diplôme d’Etat de Psychomotricien·ne est ton passeport pour exercer la profession. La formation proposée à l’ISRP est dense : entre les stages, les apprentissages théoriques et pratiques, l’alternance possible à partir de la 2e année, les projets extra-académiques obligatoires (PEA), les médiations et les différents types d’évaluations, tu ne vas pas t'ennuyer !
Le résultat en vaut la chandelle, et “cherry on the cake”, l’école garantit l’efficacité et l’employabilité de ses diplômé·es. Bref, et c’est à noter, les interrogé·es sont vraiment heureux·ses d’avoir fait cette école, racontant avoir beaucoup appris sur elleux-mêmes, sur les autres et sur le métier, bien sûr.
Fondée en 1967 par notamment Giselle Soubiran, kinésithérapeute française ayant créé la profession de psychomotricien·ne, l’Institut Supérieur de Rééducation Psychomotrice a joué un grand rôle dans la création du Diplôme d’Etat de Psychomotricien·ne en 1974, aujourd’hui nécessaire pour exercer cette profession. C’est donc la première école de Psychomotricien·ne en France. Grâce à ses 4 campus aujourd’hui, c’est le plus grand institut de France en psychomotricité.
“Qu’est-ce que ce métier ?” Te demandes-tu peut-être à la lecture de cette fiche. En deux mots, la ou le psychomotricien·ne prend en charge les troubles moteurs qui sont d’origine psychologique, tels que les troubles de l’attention, les maladies psychosomatiques… La ou le psychomotricien·ne est à la fois thérapeute et rééducateur·ice : elle ou il a des pratiques telles que la relaxation dynamique, des activités rythmiques, des jeux… Son objectif ? Aider la ou le patient·e à mieux maîtriser son corps, si possible à apaiser ses troubles jusqu’à s’en débarrasser. Il ou elle exerce dans des centres médico-psychopédagogiques, des établissements hospitaliers, les hôpitaux psychiatriques…
En trois ans, tu apprends le métier de psychomotricien·ne. Avertissement : c’est dense, mais tu as un fantastique métier à la clé !
Lors de la première année, tu auras beaucoup de théorie, avec des cours tels que neuroanatomie, anatomie, psychologie, psychiatrie… Précisons que ces cours sont enseignés par des formateur·ices qui sont par ailleurs psychiatres, psychologues, bref qui exercent des métiers leur permettant de rendre leurs enseignements extrêmement concrets.
Au niveau de la pratique, tu as quinze jours de stage deux fois dans l’année : un en crèche, l’autre en maternelle. Tu as aussi ce que les interrogé·es appellent les “médiations” ou “Pratique de psychomotricité”, c’est-à-dire des cours de relaxation (obligatoire durant les trois ans), mais aussi danse orientale, danse africaine, kinomichi, percussions… Chaque année, tu as des médiations différentes pour pouvoir en proposer le plus possible à tes futur·es patient·es. Durant cette année, tu es aussi introduit·e au PEA, c’est-à-dire le Projet Extra-Académique : au sein d’un panel d’associations, les étudiant·es doivent en choisir une pour trois ans et y développer la psychomotricité.
Vers la fin de cette année, tu peux participer aux différents événements organisés par le pôle alternance et bénéficier de l’accompagnement du service stage pour te préparer aux entretiens (CV et lettre de motivation). Cela te permettra d’optimiser ta recherche et de trouver un stage ou un emploi en alternance dès la 2e année d’études (par exemple avec le Job dating à ISRP Paris).
Les deuxième et troisième années se passent un peu de la même façon. En effet, durant ces deux années et en plus des cours, tu auras différents stages à réaliser (stages courts, stages longs et la possibilité de stages complémentaires).
Tu auras donc des exigences quantitatives : au minimum 600h de stage à réaliser sur la 2 et la 3e année de formation dont minimum 400h avec un psychomotricien diplômé d’État de plus de 3 ans. Tu auras également des exigences qualitatives de façon à s'assurer que tu varieras bien les maîtres de stages et les lieux de stages.
Il faut ici expliquer les stages de l’ISRP : est appelé “stage long” un stage qui court sur toute l’année, quelques jours par semaine. Est appelé “stage court” un stage qui court seulement sur quelques semaines (une ou deux maximum). Aussi, à savoir que les étudiant·es ont 4 types de population obligatoires à voir en stage durant leurs deux dernières années à l’ISRP.
Ajoute aux stages les différentes évaluations, la préparation et l’écriture du mémoire, les mises en situation professionnelle... comme tu le constates, tu as donc trois années TRÈS remplies qui t'attendent afin d’obtenir ton Diplôme d’État.
Les interrogé·es ont tous·tes beaucoup apprécié leur passage dans cette école et ne regrettent absolument pas. Juste que c’est très intense et qu’il faut le savoir.
Un mot rapide sur les évaluations : globalement, tu es très souvent évalué·e, que ce soit en contrôles continus, grâce aux partiels deux fois par an, en cours pour la pratique et durant ta soutenance de mémoire en fin de troisième année. Le mémoire est généralement à propos de ton alternance ou de ton stage long.
En seconde année, tu peux partir pendant un semestre à l’étranger suivre des cours dans un établissement partenaire, par exemple en Suisse ou au Portugal. L’ISRP a des partenariats un peu partout dans le monde, que ce soit en Europe, en Amérique, en Afrique ou en Asie. Il faut dire que l’école a eu le temps de se construire un beau réseau depuis 1967 !
Tu n’auras pas trop de mal à trouver un poste après l’école. En effet, dans certaines régions comme en Ile-de-France, il y a un fort besoin de psychomotricien·nes.
Si tu te demandes "Est-ce que c'est pour moi, l'ISRP ?", voici le profil type qui cartonne dans cette école :
Tu vas d’abord sur Parcoursup, pour entrer ta demande d’admission à l’IRSP et ce, quelles que soient tes spécialités ou options choisies au lycée. La sélection commune d’admission à l’ISRP te permet de candidater à une, deux, trois ou quatre écoles en un seul vœu sur Parcoursup. Ton admission à l’ISRP se fera sous réserve de l’obtention du baccalauréat.
Si tu as fait d’autres études dans le domaine de la santé (infirmier·e, ergothérapeute, kiné, éduc’ spé, orthophonie…), tu peux entrer par équivalence au titre de l’article 25 :
Contrairement aux écoles de commerce ou d’ingénieur, il n’existe pas de classement des meilleures écoles de psychomotricité. Ceci dit, l’ISRP est la première école de psychomotricité créée en 1967 par la clinicienne Giselle Soubiran, qui a contribué à la reconnaissance du métier de psychomotricien·ne en 1974 avec un Diplôme d’Etat. Tu t'apprêtes donc à t'inscrire dans l'histoire même de la profession. Classe, non ?
Pour l’année 2023/2024, voici les tarifs :
Nota Bene : les tarifs mentionnés ci-dessus sont payables en 5 fois. Des dispositifs tels que la formation possible en apprentissage, des bourses du conseil régional, Fonds de solidarité ou financements publics peuvent également être mis en place pour te permettre de financer une partie de tes études.